D'où vient la Kinésiologie ?

Docteur Goodheart, précurseur de la Kinésiologie.

En 1960, le Dr Goodheart, chiropracteur, remarque que chaque muscle est en relation avec un organe et un méridien d’acupuncture. Il développe la “kinésiologie appliquée”, réservée aux professionnels du corps médical. Il utilise des techniques d’équilibration posturales et énergétiques en tenant compte d’une approche globale du corps, autant sur le plan physique-structurel, biochimique-nutritionnel que émotionnel-psychique. Il utilise des méthodes d’équilibration s’appuyant sur les recherches du Dr Bennet (point neuro-vasculaires), ainsi que les recherches du Docteur Chapman (point neuro-lymphatiques).

Docteur Thie, transmetteur de la Kinésiologie au grand public.

Dans les années 70, le Dr Goodheart et son élève, le Docteur Thie, établissent les liens entre un stress, un déséquilibre énergétique et le tonus musculaire. Ils utilisent alors le tonus musculaire pour aller à la source de ces déséquilibres. Le Dr Thie  élabore Touch For Health, une approche des tests musculaires, pour simplifier la kinésiologie appliquée et la rendre accessible au grand public.

Mise en liens des émotions avec les problèmes physiques.

Dans les années 80, Gordon Stokes, Candace Calloway et Daniel Whiteside travaillent sur les liens entre les émotions et les problèmes physiques. Ils utilisent la défusion de stress émotionnels (EMDR/EFT) et créent “Three in One Concept” ou concept 3 en 1 (intégration du corps, mental, esprit). L’objectif est de redonner à la personne son propre pouvoir d’action et de décision. Ils remarquent qu’en corrigeant les blocages énergétiques du présent par la libération des blocages et systèmes de croyances du passé, on augmente le niveau de responsabilité et les prises de conscience, facilitant l’accès à son plein potentiel et ses ressources personnelles.

Mise en lien des émotions et des mouvements corporels dans les mécanismes d'apprentissage.

En 1980, Paul et Gail Dennison, crée l’éducation kinesthésique (Brain Gym). Ils remarquent que les difficultés d’apprentissage sont souvent liées à des facteurs d’inhibition des capacités cérébrales. L’élaboration de certains mouvements permettent la synchronisation des hémisphères droit et gauche du cerveau, réactivant les capacités cérébrales. Ces mouvements permettent de faciliter l’apprentissage de l’adulte et de l’enfant, améliore la confiance en soi, l’estime de soi et permettent un accès, de façon ludique à tout son potentiel.